Mali: FIN DE MISSION: Le PM  AG Ahmedou s’explique!

Par Hama Tandina

Mohamed AG Ahmedou, ancien premier ministre et ministre des affaires étrangères du gouvernement malien en Exil. Coordinateur du Consortium Méhari Consulting & Mehari-Post & associations du développement local des régions de Tombouctou et Taoudeni. Secrétaire Général du Mouvement des OSC dénommée Panel des Démocrates Maliens Pour la Justice et le Développement au Sahel PDM-JDS en abrégé.

C’est depuis la populaire Radio privé dite « Radio Kledu » que celui qui conduisait le gouvernement en exil a développé les raisons de son départ.

Il choisira l’édition en bambara afin de toucher assez de compatriotes en déclarant :

 » j’ai quitté le gouvernement de transition civile parce qu’il  y avait des mésententes. Ceux qui conduisaient avec moi l’exécutif ont été dans la guerre d’égos avec des recrues de la sécurité d’Etat parmi nous. C’est le cas du jeune Mamadou Diarra qui fut très frivole et était une taupe. Il est maintenant en Côte d’Ivoire mais reste très nocif malgré ses supposées déclarations d’agression physique à son endroit au nom de notre lutte »

Mohamed Ag Ahmedou ajoute que de Cherif Kone à Adama Touré ( parlement civil en exil) ,  » .nul ne voulait entendre raison pourtant le gouvernement en exil avait pour but d’unir les Maliens, combattre le racisme, la xénophobie et la méfiance afin de sauver les maliens de la situation chaotique que leur font subir les militaires putshistes et les mercenaires russes de Wagner qu’ils ont recruté pour des lessivages ethniques. La folie du pouvoir aura eu raison de ceux qui avaient eu l’opportunité d’être alternative au peuple malien ». Un autre cadre dédié au combat d’un Mali réunifié à vu le jour a-t-il confié.

 » Mon combat continue et ira à la 6ème vitesse avec le panel des démocrates maliens pour la justice et le développement au Sahel » dit Ag Ahmedou qui fera cette précision:  La dénomination de son mouvement est en phase avec le combat régional qu’il mène avec les camarades du Niger et du Burkina dans la plateforme sahélienne dénommée Conseil de Résistance pour le Renouveau Démocratique Africain, CRR-DA en abrégé ».

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